the nutsy one ...

Il fait gris aujourd'hui,...

La semaine ne se passe aussi bien que prévue mais elle n'est pas pire que d'autres.

Je ne me suis pas trop rétamée en anglais, mais ce que je crois vouloir ne se passe toujours pas.

Petite mélancolie passagère à cause du temps.

Flemme de bosser en vue du jour de demain qui est férié.

J'enchaine donc les épisodes de "Coffee Prince" et bois du thé en écoutant "Le prince Miiaou" convenant totalement à mon humeur du jour.

Ce soir ça ira mieux, y desperate. Demain ça ira mieux, grasse matinée et gateaux. Jeudi, on recommencera et tout passera...

en écoute: "Hawaiian tree" de "Le prince Miiaou"

Aujourd'hui Marina, n'a pu m'emmener sur Poitiers.

Camille et David n'ont plus, n'ont pas pu m'emmener.

Aujourd'hui j'ai donc du prendre le train.

J'ai pris le train de 18h18, celui que je déteste le plus car on y est tout tassé. Mais j'ai pris le seul train qui fait que je peux essayer d'espérer attraper un bus pour ne pas trop marcher.

Aujourd'hui j'ai heureusement croisé Rebecca dans le train et ont a même pu être assises autre part que sur nos valises durant tout le trajet.

En arrivant en moins de 4 minutes, j'ai réussi à sortir du train, me frayer un passage entre la multitude de gens qui sortaient en même temps que moi, et avoir mon bus, tasser à l'arrière entre deux valises et un mec bouré.

Aujourd'hui j'ai réussi à rentrer chez moi sans que ma valise ou mes pieds ne marchent et roulent dans les merdes de chien de ma rue, exercice assez complexe de nuit.

Depuis, je suis en tee shirt dans ma chambre-cuisine-salon-salle à manger-salle de bain, oui trop pauvre pour avoir ne serait-ce qu'un deux pièces, et je n'ai miraculeusement pas froid ou presque.

Mon four micro-onde agonisant vendredi midi, semble avoir repris des forces ce week-end, maintenand la touche "start" fonctionne et je n'appuie plus sans résultats, bon maintenant de là à savoir si il chauffe, il faut peut être pas trop lui en demander pour le moment.

Cette semaine à cause du jour férié, je n'ai que 4 jours de cours, comme beaucoup d'autres gens. Mais je n'aurais ainsi pas à finir à 20h, mercredi, ce qui relève quand même du gros gros kiff.

Avec toute cette chance, il me semble que je commence une très bonne semaine, chose à confirmée,...

en écoute: In the waiting lines de Zero 7, graçe à la playlist d'un mec qui fait de super photos.

Hier, je suis allé à Chaumont, pour son dernier week end d'ouverture du festival international des jardins.

C'était beau, plaisant et féérique. J'ai même pu admiré les mongolfière a côté d'un petit garçon de 5 ans.

Ca m'a fait du bien, ça leur a fait plaisir, nous recommencerons.

Voici donc quelques unes des photos prises, logiquement si vous cliquez dessus ça doit s'ouvrir en plus grand, mais peut être que non.

Sinon, vendredi dans le cadre de mes cours j'ai passé un test de personnalité (le 16 PF 5, pour les connaisseurs). Si ce n'est pas trop horrifique, je vous en donnerais le résultat. Mais pour cela, il va falloir attendre deux semaines.

On est juste heureux de ne pas avoir une vision trop idéalisée de l'Inde. Même si dans ce film rien n'est trash tout reste respectueux, même la misère semble moins misère. Un bon happy-end et de la danse et le tour est joué. C'est un bon et beau film, à revoir.

Nous sommes le 28/09/09. Il est environ 12h35. Je suis à Poitiers, nous sommes lundi et pour le moment il fait beau, ce qui annonce sans doûte une bonne semaine. Entre deux cours de psychologie et trois livres en court, j'ai froid dans ma petite chambre alors que nous ne sommes que fin septembre. Je m'excuse d'avance pour mon écriture, mais je ne sais pas parler, ou du moins, ma faculté à décrire les choses de manière simple et compréhensible n'est pas très développée. J'aurais adoré avoir moi aussi, un blog bd mais je ne sais pas dessiner, quoi que d'après des enfants de 8 ans je me débrouille pas si mal... Je suis un peu tout le monde et surtout personne. J'avance comme je peux mais c'est déjà bien. J'ai tout sauf "une vie tout à fait fascinante", mais c'est pas pour ça que j'ai pas envie de vous la raconter.